La chambre de l'instruction de Dijon vient d'autoriser de nouvelles investigations scientifiques sur les chaussures et les vêtements de l'enfant retrouvé mort en octobre 1984.
La comparaison des voix via l'exploitation des enregistrements de l'époque permettra peut-être de mettre enfin un nom sur le "corbeau".
De la découverte du corps de l'enfant jusqu'aux analyses de la dernière chance qui se sont révélées négatives, les temps forts de l'affaire.
L'affaire du petit Grégory Villemin, assassiné il y a 27 ans, gardera son mystère. Sauf à placer un ultime espoir dans la énième "dernière chance"…
De nouvelles investigations sur des scellés non encore exploités ont été ordonnées par la cour d’appel de Dijon, ravivant les chances d’identifier le coupable.
Le corbeau de l’affaire Grégory, c’est 700 appels anonymes, des lettres aux messages cachés et des persécutions en tous genres (dégradations de voitures, vitres cassées, etc.).
La vérité de l’affaire Grégory ne se cache pas derrière un timbre ou dans les micro-traces de sueur laissées sur les lettres de revendication du crime.