La partie de poker menteur au civil promet d'être rude. À cet égard, l'enquête du procureur est du pain bénit pour le camp DSK.
Le procureur de New York va demander l'abandon des poursuites contre DSK. Mais le bénéfice du doute change de camp.
Le procureur a convoqué la plaignante, à la veille de la prochaine audience.
Parallèlement à la procédure criminelle, une négociation sur les indemnités se prépare dans le secret des cabinets d'avocats.
Le dépôt d'une plainte au civil par la femme de chambre, s'ajoutant à la procédure pénale, ouvre la voie à une négociation.
La divulgation médiatique des faits reprochés à DSK par son accusatrice semble trahir une volonté d'engager une procédure au civil.
La prochaine apparition de DSK devant la justice américaine est prévue le 23 août, mais d'ici là la défense espère un abandon des charges.
Fragilisée dans sa crédibilité, la plaignante s'est abondamment exprimée devant les médias sur les circonstances de l'agression présumée. Est-ce une stratégie gagnante ?
L'intrusion du dossier français dans la procédure new-yorkaise est-elle possible ? À qui profiterait-elle ? Éclairage.
Les avocats de l'ancien patron du FMI ont rencontré les services du procureur de New York. Que peut-il arriver maintenant ?