La contrefaçon touche de plus en plus de secteurs et de marques, et fait de plus en plus de victimes. Tel est le bilan que dresse aujourd’hui la plate-forme de commerce entre internautes PriceMinister .
En matière de cybercriminalité, les effets d’annonce brouillent la réalité, surmédiatisée, surexagérée. C’est l’un des constats dressés par le Club de la sécurité de l’information français dans son panorama annuel présenté le 15 janvier 2009.
Le coupable s’appelle Torpig. Profession : cambrioleur de banque. Un as du casse version high-tech. Torpig est un cheval de Troie, un programme informatique malveillant. Installé à l’insu du propriétaire de l’ordinateur, il enregistre les mots de passe des internautes au moment où ils se connectent au site de leur banque.
Facebook, Myspace, et bientôt Townsquare, les sites de socialisation attirent de plus en plus de membres, toutes tranches d’âge et toutes nationalités confondues. Néanmoins, les internautes n’ont pas toujours conscience des risques encourus en éparpillant des informations personnelles sur ces sites.
Deux fois en un an que la Russie est accusée par ses voisins de cyberattaques. La première intervient, en mai 2007, en Estonie, où 80 % des transactions bancaires se font en ligne.
Ils se faisaient livrer du petit matériel électronique dans des hôtels parisiens, voire à la terrasse des cafés, sous de faux noms et avec des numéros de cartes bancaires volés.
Voleur se présentant faussement comme un vendeur bien noté en vue d’escroquer un acheteur sur eBay, blogueur empruntant l’identité d’un autre pour adresser des menaces de mort à une blogueuse, internaute annonçant sur Facebook sa future fusillade à la « Columbine » au nom d’un autre membre du réseau, etc., le vol d’identité numérique est devenu un sport international.
Tout commence par une bonne nouvelle : « Vous avez gagné 25 000 euros, le troisième prix de la loterie organisée par le Groupe Bank of Africa… ! » Pour empocher ce gain, il suffit de contacter Me Untel, qui indiquera la marche à suivre.
Votre téléphone sonne et s’arrête aussitôt. Par curiosité, vous appuyez sur la touche « rappel » de votre téléphone. Vous tombez alors sur un numéro commençant par 08.97 (surtaxé !). Une voix enregistrée vous propose, par exemple, de répondre à un questionnaire sur les assurances. C’est un canular qui peut vous coûter cher.
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