Un mois après l’audience qui s’est tenue à huit clos à la cour d’appel de Douai , les trois magistrats ont tranché en répondant « non » à la question : « Doit-on annuler le mariage des époux lillois pour mensonge relatif à la virginité ? » La justice marque, par cette décision que révèle lepoint.fr, son refus d’ajouter à la liste empirique des nullités d’un mariage – incluant notamment la non-révélation d’un passé carcéral, d’une activité de prostitution ou de l’inaptitude aux relations sexuelles – le mensonge sur la virginité.
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